Olivier Chanteloup

Olivier, tu es parti trop tôt. Repose en paix. Et d'où tu es veille sur ta famille. Tu as mené avec acharnement ce combat, je retiens de toi ton esprit d'aller toujours de l'avant. Tu restes un collègue avec qui tout était fluide. Que ton âme repose en paix. Ta collègue. Léontine

A nos années dijonnaises, fine équipe au boulot, fin duo en dehors. Seuls les beaux souvenirs comptent. Trouve l'apaisement là où tu es.

Je suis vraiment très attristé par cette nouvelle. J'avais côtoyé Olivier en 2012-2013, à la BA 102. Je retiendrai le souvenir d'un collègue très attachant, toujours dynamique et positif. Une pensée pour la famille à laquelle je présente mes sincères condoléances.

C’est avec une énorme tristesse que j’ai appris ton décès. Je retiendrai de toi, ta bonne humeur permanente, ta gentillesse et ton envie de vivre. Repose en paix. Courage à tes proches. Vincent

Mon capitaine, cher Olivier, C'est avec grande tristesse que j'apprends ton départ prématuré pour ton dernier vol. Toutes mes plus sincères condoléances à ta famille sur laquelle je sais que tu veillera depuis là-haut.

Olivier, Ta légendaire joie de vivre et ton humour, que l'on redécouvrait chaque matin en arrivant dans la salle café, nous permettait de bien démarrer la nouvelle journée à venir. Tes récits de pilotage nous remplissaient les yeux d'étoiles. Je me souviens notamment de la phrase désormais célèbre pour moi : "une minute de vol, c'est une journée de marche", afin de nous faire comprendre que l'on ne s'éjecte qu'en tout dernier recours. D'ailleurs, je me souviens que, pour passer ton diplôme de pilote civil, tu cherchais un "passager de poids", et j'ai donc eu l'honneur d'être "ton boulet" le temps d'un vol au-dessus d'Angers et la Loire, histoire de bien lester ton appareil. Tu as brillamment réussi ton test ce jour là. Olivier, cher collègue, Bon vol retour à la maison ... On te rejoint dans quelques temps... Mais pas encore

Olivier, Je n'ai pas de mot. Dans ces moments, les mots et les paroles sont souvent dérisoires. Je suis simplement bouleversé et triste. Partir si jeune, oui je dis bien si jeune, est toujours injuste. Je garderai en mémoire ton éternelle bon humeur et en souvenir tes récits du temps où tu fus pilote dans l'Armée de l'air. Je percevais dans ses moments la passion qui brillait dans tes yeux. Bon vol Olivier Toutes mes sincères condoléance à ta famille.

Mes sincères condoléances dans ces moments douloureux. À Cayenne, le râle de la petite KTM précédant de loin son arrivée me faisait toujours rigoler. J'ai le son et son sourire, lorsqu'il retirait son casque, gravé en ma mémoire.